Concours

Mercredi 31 mai 3 31 /05 /Mai 10:33
Violaine restait de marbre. Le recenseur regardait sa main et tétanisé par son geste il quêtait du regard, auprès des trois protagonistes, une forme d'approbation. Un silence lourd donnait à la scène une touche théâtrale que Martin mit à profit pour aller se saisir du bas du Marcel de Violaine et le lui retirer prestement. Soumise, Violaine avait levé les bras au ciel pour lui faciliter la tache. Nue, poitrine arrogante, elle se dressait sur la pointe des pieds ce qui avait pour effet de donner un peu de hardiesse à la main du type qui lentement se mit à descendre vers l'entre-jambes. Sur son canapé, FX, attendait son heure avec une fausse décontraction.
Lorsqu'il atteignait la lisière de la toison le type hésitait. Violaine imperceptiblement ouvrait ses longs compas et rejetait sa tête en arrièrre projetant plus encore sa poitrine. Alors le type n'y tint plus, d'un geste brusque il la fouissait. Violaine hoquetait. Haletant le type faisait mouvement, se plaçait au long du flanc de Violaine et de sa main libre il allait droit au cul. Violaine criait. En dépit de sa petite taille le type soulevait Violaine. Celle-ci pesait de ses deux mains sur le crâne chauve en murmurant d'une voix rauque " je vais lui pisser dessus..."
François-Xavier se levait. Il tapotait sur l'épaule du nabot " maintenant que tu as ta dose pépère, tu te suces les doigts en souvenir et tu te tires... " Avant même que le type s'exécuta Violaine  gueulait comme une vulgaire marchande de poiscaille " dégage maquereau ! Branle-toi si ça te chante ! Vas-y continue pépère t'as des doigts de fée... " Le petit type requinqué, tel un judoka trouvait le moyen d'étendre Violaine sur le parquet et à genoux au-dessus d'elle il lui pétrissait les seins tout en excitant ses tétons avec une maestria peu commune.
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Mardi 30 mai 2 30 /05 /Mai 16:30
J'étais en Andalousie sous le charme de Cordoue, Grenade et des belles andalouses j'avais donc abandonné mon clavier et ce matin mon premier bonheur fut l'offrande des charmes de Véro à mes yeux ravis. Elle y passera !

Le type gauchement tendait un formulaire à Violaine qui, du haut de son mètre quatre-vingt, ostensiblement courbait l'échine offrant au regard exorbité du nabot une vision panoramique de ses seins libres et fermes et elle saisissait du bout des doigts, avec une petite moue mutine, le document officiel  et l'agitait, tel un éventail, juste devant la pointe fine de son joli petit nez. FX, sagement assis sur le canapé, observait le manège de sa collaboratrice en pensant qu'en plus d'avoir un QI hors norme Violaine possédait des dons de comédienne qu'il ne soupçonnait pas. Son cerveau calculateur en tirait déjà le meilleur parti, l'optimum, et, alors que ça ne lui était pas arrivé, depuis plusieurs semaines il bandait.
Phénomène amplifié par la gestuelle et la pause que prenait Violaine face au compteur d'habitants qui semblait faire eau de toute part. Les feuillets venaient de s'échapper de sa main, voletaient, se posaient sur le plancher et, dans un mouvement souple, sans fléchir les genoux, elle se penchait pour les ramasser offrant à FX le spectacle grandiose de ses longs compas fichés dans les lobes fermes de ses hautes fesses à peine entrouvertes et, tel un nid duveteux, la fente de sa chatte s'offrait à qui voudrait bien s'y immiscer. Trop facile, FX se contenta de masser doucement son sexe soc pour le détendre.
C'est le moment que choisissait Martin, en tablier et bras de chemise retroussés, pour faire irruption dans le plan.  Feignant l'étonnement il s'adressait à l'intrus dont l'état de toute évidence frisait l'effondrement " vous êtes le nouveau chevalier servant de madame ? Ne vous mettez pas martel en tête cher monsieur, cette donzelle n'est qu'une allumeuse, sa danse de boa constrictor ne vous apportera que des illusions. Avec elle seul le knout est de vigueur. Il faut la mater, l'avilir et la souiller. Pas vrai ma choute ..." Violaine levait les épaules ce qui avait encore pour effet de relever les pans de son Marcel et donner en spectacle la plus attractive partie de son anatomie. Le recenseur d'un geste robotique posait sa courte main sur le ventre plat de Violaine;

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Mardi 16 mai 2 16 /05 /Mai 11:34

L'ordre règnait à nouveau sur la moquette de haute laine gris perle du vaste bureau présidentiel de FX. Violaine se poudrait le nez en jetant des petits regards, par l'entremise de son miroir, en direction de Martin qui lui contemplait le bout de ses Richelieu patinées, perdu dans l'un de ses rêves. Au téléphone, François-Xavier, tempétait, avec un calme extérieur parfait, contre l'inertie d'un ses chers amis, pour l'heure Ministre. Son interlocuteur semblait acquiècer et Violaine pensait qu'en temps ordinaire, après une telle séance, il l'aurait troussée sur le vaste plateau de marbre de sa table Knoll. Assaut aussi puissant que bref qu'elle adorait : le plaisir haut, violent et lui tigre et petit homme dans le même instant. Violaine méprisait les besogneux et les gymnases qui s'ingénient à vous prendre dans des positions acrobatiques en vous limant pendant des heures.

Arrivés chez Martin, celui-ci s'enfermait dans sa cuisine pour se consacrer au rituel des pennes au pesto. Violaine avait envie de le rejoindre mais elle ne trouvait pas le bon prétexte. Dans l'attente, sur le balcon, elle sirotait un mojito en compagnie de FX lointain et un peu boudeur. L'interphone grésillait. Violaine se précipitait. C'était l'agent recenseur. Elle lui disait de monter et d'une pulsion soudaine se précipitait dans la salle de bain pour s'y dévêtir en moins d'une minute chrono. Nu pieds, en marcel bleu marine très ample, propriété de Martin, elle ouvrait la porte d'entrée. Le type était sans âge, usé, attifé comme un pauvre avec des pompes avachies. Violaine le faisait entrer en l'obligeant à se glisser entre elle et la porte. Il la frôlait. Son odeur de pisse rance lui donnait envie de gerber.   

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Dimanche 14 mai 7 14 /05 /Mai 11:02

Martin et Violaine stoppait net leur effeuillage et se plaçaient côte à côte comme deux collégiens pris en faute, à part que leurs sourires ironiques ne les rangeaient pas dans cette catégorie. Le spectacle en valait la peine car Violaine, loin de cacher sa poitrine dénudée, la propulsait comme si on allait lui épingler une décoration. Face à eux, François-Xavier s'était adossé à la grande vitrine où s'alignaient ouvrages et objets d'art. Il manquait d'air.

- Désolé cher FX de t'avoir infligé une telle épreuve même si notre petite démonstration à Violaine et moi est concluante. Ne proteste pas mon grand, sous la fine flanelle de ton costume bien coupé de Savile Road se cache un mec, un mec qui comme la plupart des mecs est un voyeur. Avant que nous allions chez moi casser une petite graine et poursuivre ma démonstration je tiens à rendre hommage aux talents de comédienne de Violaine. Bravo ! Et puis pour ne pas faire dans l'hypocrisie j'avoue que pour moi ce fut plus qu'un jeu mais une réelle partie de plaisir.

Martin parlait d'une voix assurée. François-Xavier retrouvait ses esprits. Violaine renfilait son débardeur puis allait déposer un chaste baiser sur le front de son cher patron qui à l'occasion était aussi un peu son amant. En fille libre Violaine accueillait les assauts violents de FX avec une distance emplie de tendresse, ce bel animal à sang froid avait besoin de se délester de toutes ses fureurs rentrées et elle trouvait ça jouissif. Pour l'heure, la scènette avec ce cher Martin l'avait émoustillé plus qu'elle n'en laissait paraître et, dans son fors intérieur, plus précisément son bas-ventre, elle se sentait frustrée.

Note de l'auteur : si ça vous plaît vous pourriez mettre mon site dans vos favoris. Merci d'avance...

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Samedi 13 mai 6 13 /05 /Mai 16:49

Martin, en un ballet étrange, tournait autour de Violaine, puis, alors qu'il jetait badin à FX " j'ai besoin d'un témoin, alors bellissima au ventre plat nous accompagne... " il posait ses mains sur ses hanches dénudées et pressait fort. Violaine se cambrait, jouant le jeu à l'extrême, donnant à ses seins libres sous le débardeur une arrogance piquante qui troublait plus encore que d'ordinaire le flegme apparent de son patron. Martin accentuait sa pression. Violaine se haussait sur la pointe des pieds. Le spectacle prenait des allures de jeu aux règles indéfinies.

- Tu dérapes mon grand...

- Non j'assure sans hypocrisie le fond de ma nature et Violaine adore, pas vrai...

La haute plante aux lèvres camélias opinait. Martin sans vergogne la faisait volter. Face à face ils se toisaient. Leurs mains allaient de concert à un but commun : une folle envie de baiser sur la moquette de haute laine qui se traduisait par un assaut furieux de tout ce qui s'y opposait. Tétanisé FX les contemplait. La première victime fut le débardeur de Violaine quasiment arraché et jeté alors que pour lui, face à sa poitrine nue, le délestage était plus modeste : quelques boutons de sa chemise.

 

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